Monaie valeur d’échange et non de hiérarchie

La monaie est une base, connue de tous, d’échange.
Le salaire est donc basé sur l’échange, mais c’est l’homme qui dans son fonctionnement hiérarchisé ramène cette échange non pas à une valeur d’échange mais bien à une valeur hiérarchique.
Travailler beaucoup, gagner beaucoup, dépenser beaucoup est sans doute lié à un système nerveux pas suffisamment maîtrisé par un être doué d’intelligence.

Bernard FRIOT : Nous n’arriverons jamais au “bon emploi” car l’emploi par essence est mauvais : IL NOUS NIE COMME PRODUCTEURS

http://chouard.org/blog/2014/06/14/travail-ou-emploi-par-bernard-friot/#comment-883

Je suis un peu effrayé par cette proposition.
On ne peut que rarement expliquer et résoudre un problème en tenant compte que de peut de facteurs.
Mon analyse du probleme actuel est la volonté humaine de créer d’immense ensemble.
A partir de la, imaginer comment je voie la création du plus gros ensemble d’humain jamais créé…
Pour ma part c’est la taille des conglomérats, multinationales, fonctionnariat qui est la base du disfonctionement des sociétés humaines.
Notre avenir est dans l’expansion des échanges, d’un maximum de petites communautés, grace aux nouveaux outils de communications qui viennent d’apparaître.
Cette proposition est juste l’opposé d’un ordre mondial dans laquelle l’homme n’a pas plus sa place.
Nous ne pouvons nier ce que nous sommes ni d’où nous venons.
En l’état actuelle nos projets d’avenir doivent coller avec les rhytmes biologiques qui nous entours et même s’en référer.
Il est fort possible que nous pourrons un jour sortir de notre condition mais l’homme n’a pas fait encore le travail nécessaire sur lui même.
Nous restons donc tributaire de notre condition biologique.
Se projet est surréaliste car d’une prétention folle à ce jour.
Il n’est pas motivé par une volonté d’harmonie et d’équilibre “esprit” mais sur la volonté de reprendre du terrain à l’autre ” biologique “

Médias vendus…

Mr Colombani peut il nous expliquer pourquoi le 4ème pouvoir, contre poids à toute démocratie, est sistematiquement en accord avec l’élite dirigeante avec laquelle il se complaît en UE, au lieu d’être comme en Russie combattu par le pouvoir auquel il s’oppose.
Sans avoir d’avis sur le niveau démocratique des ces 2 ensembles et sur la base de cet exemple la démocratie fonctionnerait elle mieux en Russie qu’en Europe.
Il est pour moi une certitude c’est que les Colombanis & co en se vendant pour des paillettes dorées sont les les grands Responcables de la perte du pouvoir du peuple dans nos anciennes démocraties.

Les élites ne seraient que des exécutant zélés.

Extraits des Mémoires de Guerre de Charles de Gaulle :

« Enfin M. Albert Lebrun vint joindre à l’approbation générale celle du fantôme mélancolique de la IIIe République. Je le reçus le 13 octobre. « J’ai toujours été, je suis, me déclara le président, en plein accord avec ce que vous faites. Sans vous, tout était perdu. Grâce à vous, tout peut être sauvé. Personnellement, je ne saurais me manifester d’aucune manière, sauf toutefois par cette visite que je vous prie de faire publier. Il est vrai que, formellement, je n’ai jamais donné ma démission. A qui, d’ailleurs, l’aurais-je remise, puisqu’il n’existait plus d’Assemblée Nationale qualifiée pour me remplacer ? Mais je tiens à vous attester que je vous suis tout acquis » […]. Le président Lebrun prit congé. Je lui serrai la main avec compassion et cordialité. Au fond, comme chef de l’Etat, deux choses lui avaient manqué : qu’il fût un chef ; qu’il y eût un Etat »

Quelle phase terrifiante: Qu’il fut un chef, qu’il y eût un Etat…

Et pourtant le Président Lebrun était sorti premier de Polytechnique, tandis que le Général Gamelin, ex Chef d’Etat Major du vainqueur de 1918 le Marechal Foch, était, lui, sorti premier de Saint Cyr. Donc la France en 1940 était « dirigée » par celui qui était sorti premier de Polytechnique tandis que son armée l’était par celui qui était sorti premier de Saint Cyr.

Le résultat ne se fit pas attendre : un effondrement comme nous en avons peu connu dans notre Histoire.

Je soutiens que cela est normal, et je vais m’en expliquer en commençant par une petite anecdote.

Il y a bien des années, alors que j’avais vingt sept ans, j’étais étudiant dans une « Business School » aux Etats-Unis tout en étant professeur assistant dans le département d’économie, pour payer mes études.

Pendant un cours, l’un des professeurs les plus admirés nous posa cette question: « Pourquoi pensez vous que les sociétés qui vous interviewent en ce moment cherchent elles à vous embaucher? ». Question idiote s’il en fut tant la réponse était évidente! A l’évidence, pensions nous « in petto », parce que nous sommes les meilleurs? » La réponse du Professeur (à sa propre question) a changé ma vie.

“Ces sociétés cherchent à vous embaucher parce qu’à vingt sept ou trente ans, vous êtes encore en train d’étudier et que donc vous montrez que vous n’avez aucun caractère et qu’elles cherchent de la chair à canon. Auriez vous le moindre caractère, vous auriez déjà créée votre propre entreprise il y a cinq ans au moins.” Cette phrase me frappa comme si j’avais été touché par la foudre tant cette vérité me parut indiscutable.

Nous étions tous des bons garçons (pas de femmes à l’époque en Business School, en tout cas dans la mienne »), suivant de notre mieux un cursus universitaire solidement balisé et qui devait nous assurer à tous une vie à tout le moins confortable jusqu’à notre retraite. Dans le fond, nous détestions le risque et nous étions à la recherche d’une “rente”. Nous voulions en fait profiter du Capitalisme sans en payer le prix, qui est la possibilité de connaitre l’échec.

C’est en grande partie grâce à ce professeur que toute ma vie , j’ai essayé de créer (ou d’aider à créer) des entreprises, avec plus ou moins de bonheur. Ces tentatives de création se sont soldées par beaucoup d’échecs, fort douloureux, quelques succès encore plus inquiétants tant je savais à quel point ils étaient éphémères…Le destin de l’Entrepreneur est de vivre dans l’angoisse ou dans les regrets…

Quel rapport avec la France me dira le lecteur.

Plus qu’il n’y parait.

Notre système d’éducation a été créé par l’Etat et non par le secteur privé comme aux USA, pour sélectionner les bons serviteurs de ce même Etat. Et l’Etat , comme les grandes sociétés US a besoin de chair à canon, de bons exécutants entraînés à obéir.Le but essentiel du processus de sélection est donc de trier les gens en fonction de leur total manque d’originalité et de leur capacité à apprendre et à répéter des enseignements dont personne en dehors d’eux ne peut comprendre l’intérêt. Voila qui est absolument nécessaire quand l’on veut choisir des gens sans originalité qui devront suivre des règles établies en dehors d’eux, sans poser de questions.

Pour arriver à ce résultat, la France a donc toujours suivie deux principes de base dans la sélection de son élite ADMNISTRATIVE.

1. Premier principe: Ceux qui sont le plus à même d’apprendre « par cœur » des choses inintéressantes seront sélectionnés, ce qui est logique. En conclure que ce sont les plus intelligents ne l’est pas. Voila un « non sequitur » d’anthologie : Un non sequitur se produit lorsque la première parie d’une phrase se termine par « donc » et qu’l n’y a pas de lien logique avec la deuxième partie de la même phrase. Un bon exemple serait: « Il a plu hier donc il va faire beau aujourd’hui ». Le non sequitur de base en France est : Je suis sorti premier de l’ENA, donc je suis plus intelligent que vous qui n’avez pas fait d’études », ce qui est loin d’être certain. Pendant mon service militaire, je me faisais régulièrement plumer au poker par un garçon qui était « plombier-coiffeur » dans un petit village du pays basque, qui n’avait fait aucune étude, et je n’étais pas le seul, loin de la…. Les rapports entre l’intelligence et les études sont loin d’être simples…

2. Ces « élites » aussi soigneusement sélectionnées, seraient les plus à même de « prendre des décisions ». En termes simples, les personnes qui ont passé les meilleurs diplômes seraient les plus capables de prendre les meilleures décisions…euh… En fait, c’est exactement le contraire : leur mode de sélection a été choisi justement pour favoriser l’émergence d’élites administratives (et non pas entrepreneuriales), à l’esprit complètement routinier et donc complètement incapables de prendre la moindre décision, en particulier si la solution se trouve en dehors de la boite à outils qu’on leur a demandé de mémoriser.

Monsieur Giscard d’Estaing, le plus diplômé de nos Présidents a passé sa vie à acheter au plus haut et à vendre au plus bas, (voir l’Emprunt 7 % dit ‘Giscard) à, stimuler quand il fallait freiner, à freiner quand il fallait stimuler, à tout réglementer (contrôle des changes. contrôle des prix, contrôle du Crédit, politique industrielle etc.), et le Libéralisme en France ne s’est jamais remis de sa posture de ‘Liberal Avancé » tandis que monsieur Bérégovoy, petit syndicaliste de l’EDF a pris beaucoup de bonnes décisions, ce qui l’a amené à se suicider de deux balles dans la tète (!), qui lui ont été tirées à bout portant selon la formule du Canard Enchainé au moment de l’affaire Stavisky.

Cette deuxième proposition est donc encore plus fausse que la précédente. Les gens soit disant intelligents parce qu’ils ont passé les bons diplômes sont plus que tout autre enclins à ne pas changer d’avis lorsqu’ils prennent une décision désastreuse et à s’y tenir coûte que coûte, le raisonnement de base étant toujours le même : Je ne peux pas avoir fait une erreur puisque j’étais le premier de la classe. En fait, le dirigeant de qualité se reconnait à un critère et à un seul : non pas sa capacité à prendre une décision mais son habilité à changer de cap quand il se rend compte qu’il s’est trompé…

Et donc, le problème en France est tout simple : ceux qui cherchent avant tout à se bâtir des rentes ont pris le contrôle de l’Etat Français, cela date de 1974 et ce contrôle n’a cessé de se renforcer depuis. Pour la première fois dans l’Histoire de France, pas un membre du gouvernement actuel n’a exercé la moindre activité dans le secteur privé et donc n’a JAMAIS pris le moindre risque. Les Rentiers sont au Pouvoir…On en voit le résultat tous les jours.

Et donc il n’y a plus d’Etat qui représenterait l’intérêt général, mais juste une instrument de contrainte pour dépouiller le secteur privé « légalement » au profit de petits intérêts sectoriels ou syndicaux représentés par nos « nouveaux » rentiers.

Le rôle du chef de l’Etat n’est plus d’être que le représentant de ces lobbys, son seul rôle, est en fait d’essayer d’équilibrer le poids des différentes factions qui l’ont amené au pouvoir pour repartir les prébendes au mieux de l’intérêt de ces supporters…

Quand le Président dit à l’un des ces sbires, Qui t’a fait Duc? », la réponse revient, à chaque fois la même « Qui t’a fait Roi ? »Dans le fonds, rien en change jamais. Monsieur Hollande est certes chef de l’Etat.

L’ennui, pour paraphraser de Gaulle est que ce n’est pas un chef et qu’il n’y a plus d’Etat.

Et que 1940 n’est pas derrière nous , mais devant nous.

Charles Gave
Diplômé de l’université de Toulouse (DECSS d’économie) et de l’université de Binghamton (MBA). Charles Gave est président de l’Institut des Libertés, un think tank libéral. Il collabore également à la rubrique Investir du Journal des Finances. Il est en 1986 cofondateur de Cursitor-Eaton Asset Management à Londres où il résidait depuis 1981. La société, qu’il quitte en 1999, est vendue en 1995 à Alliance Capital. Par la suite il fonde à Hong Kong GaveKal, une société de recherche et de conseil en gestion de portefeuille.

En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/quand-rentiers-capturent-etat-charles-gave-750624.html#EJDYpgGjf5R65C0e.99

En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/quand-rentiers-capturent-etat-charles-gave-750624.html#xgSMH7RAleIgY0uo.99

Sciences économiques = crises

Il m’aura fallu attendre que les économies occidentales s’écroulent et de voir les économistes se battre pour défendre leurs différentes théories pour que je comprenne ce qui me chagrine depuis toujours sur leur science.
Les sciences économiques pas unanimement reconnu comme science, se voudrait, de par leurs places, être capable de régir, à elle seul l’ensemble du vivant, par quelques règles mathématique. Ce mépris pour l’ensemble des autres sciences, est que, cette pseudo science fait partie du pouvoir.
De plus, le monde scientifique accepte,de plus en plus, qu’il est très difficile alors que la science est faite de spécificité d’avoir une vision global, faute d’approche global.
Je suis convaincu pour ma part que la compréhension ” final ” est forcément un acte simple et global.

Alors qu’ils discourent pour se justifier dans leurs erreurs, nos économistes ne voient pas le problème. N’oublions pas qu’ils sont à la droite du père comme nous le verrons plus bas.

Nous avons laissé se créé un schéma sociétal ou tout repose sur l’argent. Il est le pivot de tout et tout le monde croit qu’il peut y prétendre. Nous avons en particulier laisser les responsables de nos démocraties s’acoquiner, a travers les lobbys, avec la finance et les multinationales. Ils ont remplacé les cardinaux d’antan dans les cercles du pouvoir.
Nous Français, si fiers de la séparation, des pouvoirs et de l’église, acceptons sans même le percevoir, que l’argent, élevé à hauteur que jamais aucune religion n’ai atteint, que ce dieu argent se mêle suffisamment au politique pour ne faire qu’un.
Après que politiques et lobbys se soient partagé le pouvoir, celui ci est lui passé complètement entre les mains des lobbys= argent= finance et multinationales.
Aujourd’hui un élu est soit directement lié aux lobbys soit manipulé.
Ces marionnettes n’ayant, surtout pas, les capacités de leader, le courage ne les étouffant pas, nous ne voyons aucune rébellion dans les cercles du pouvoir.

Pour comprendre le fond du problème, il faut comparer la religion et la finance.
La religion:
Nous acceptons tous que même si une religion n’est pas parfaite elle est construite sur des bases humaniste qui visent a permettre la vie en société chez l’homme. Pour cela elles ont leurs règles propres, qui peuvent cohabiter avec d’autre règles.
La finance:
Elle, a tout compris, elle se base sur le principe que ça seul règle inaliénable c’est de ne pas en avoir. Que les constructions intellectuelles humaine ancestral sont dépassé et qu’un retour aux
mécanismes naturels est la base de tout. La théorie de l’évolution, la loi du plus fort.
Ses armées de traders et lobbyistes sont intéressantes à observer pour comprendre se que devient l’homme en suivant son seul principe. Des hommes intelligents, riches, sans foi ni loi et… complètement perdus.

Nous avons donc au pouvoir dans nos démocraties et derrière nos apparentes institutions, un pouvoir reconnaissant pour seul règle celle de ne pas en avoir.

.

Les multinationales en chiffres

En 2012 les 80.000 multinationales représentent les 2/3 des échanges commerciaux mondiaux et emploient 75 millions de personnes soit 4% de la population active.

Le chômage des jeunes est de 75 millions

l’accroissement annuel de la main-d’œuvre est estimé à 40 millions

1/3 des travailleurs soit environ 1milliard, vit sous le seuil de pauvreté.

225 millions de chômeurs

Sa pose question quand même?

Les Chiffres viennent de l’OIT organisation international du travail.
http://www.ilo.org/global/about-the-ilo/newsroom/news/WCMS_171703/lang–fr/index.htm

Reponse à Étienne Chouard

Étienne Chouard
Votre analyse et vos propositions de solutions sont très intéressantes, et j’y réfléchi déjà depuis plusieurs mois, en particulier parcequ’après y avoir adhéré franchement, quelques chose s’est mis à me gêner. Je l’identifie enfin et vous le livre.
En réalité nous ne connaissons pas les schémas qui peuvent fonctionner car lorsqu’ils sont mis en œuvre l’homme n’en respecte pas les règles.
L’orque nous identifions sur le tard les problèmes, notre réaction est de repenser, corriger ou changer le système. Or je ne vois que deux solutions pour aboutir à un système viable:
Soit l’homme est capable de changer en effectuant le travail sur lui même qui le lui permettra???
Le professeur Laborit disait qu’il était inutile d’espérer un changement tant que l’homme ne connaîtrait pas comment il fonctionne.
Soit, la correction ou le nouveau système, doit intégrer la réalité du comportement de l’homme.
En particulier qu’ils détournent naturellement les règles fixés, à son avantage, car il ne peut biologiquement pas, faire autrement.
Je pense comme Laborit qu’alors qu’il est possible grâce à la science de savoir assé précisément comment fonctionne notre cerveau. Que tout programe de gestion de nos sociétés, devra être, avant tout autre point, basé la dessus sous peine de nouvel échec.

Le pourquoi de cette crise mondiale pour les nuls

Tout commence avec la marée noire de l’Exxon Valdez en 1989 en Alaska et de son coût: 4 milliards de $.
La J.P Morgan, banque du pétrolier responsable, doit lui prêter l’argent. Son client est: sur, donc pas de problème, mais elle décide quand même d’assurer le risque, bien que mineur, à cause de l’énorme somme prêté.
Ça s’appelle CDS ou crédit dérivé.
Le problème est de trouver qui a les moyens d’assurer une tel somme et qui acceptera de prendre le risque.
C’est Jaques de Larosière président de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement, la BERD, et ancien directeur de la banque de France, qui accepte sur les conseils de la banquières Anglaise Blythe Master, de prendre le risque et signe cette première, énorme, assurance crédit.

Puis toute la finance s’y met, sans qu’aucune règle ne soit fixé.

Des 1999 la grande assurance américaine AIG se met à assurer tout ce que lui propose la banque J.P Morgan et en 2008 l’assurance fait faillite, pour être nationalisé en 2009.

Que c’est il passé?
Les banques, rassurée de ne plus avoir à supporter les risques du non remboursement d’un emprunt, on prêté à tout va.
L’assurance enthousiaste sur les gains colossaux et facile ne s’est pas méfié. Résultat les non remboursements affluent et l’assurance saute.

Mais la ou c’est très fort c’est qu’en nationalisant l’assurance l’état rend responsable, du coût, de tout les impayés de ces crédits pourris, les peuples. Les vrais responsables, eux, ne payent rien, et bien au contraire continuent de toucher les bénéfices de ces crédits pourris.

Depuis 2009 ce système extrêmement bénéfique pour ces voyous de la finance c’est institutionnalisé et généralisé.
La crise en Europe et dans le monde d’aujourd’hui est basé sur se schéma.
LES PEUPLES SONT DEVENU LES ASSUREURS DES BANQUES.

Tout menaçant de s’écrouler, dans quoi peuvent ils bien investir nos économies spoliées. Et bien dans l’économie réel, c’est a dire les terres, mines et matières premières, car quoi qu’il arrivent nous serons demandeur.

Que veut dire tout cela?
Et bien qu’un certain nombre d’hommes agissent à dessin et en connaissances de causes à l’encontre de l’ensemble de l’humanité et des droits supposés des peuples.

Comment tout cela a t’il pu devenir possible?
Aujourd’hui les politiques, managers, hauts fonctionnaires, traders sortent des mêmes écoles et deviennent dès leurs sorties nos responsables. Mais que connaissent ils de la vrais vies et de ces vrais risques? Et bien absolument rien, ils ne connaissent que le cocon des privilèges.
Avant la bourgeoisies qui dirigeait n’était pas déconnecté de la réalité de la vie, qui lui fixait naturellement les limites.
Aujourd’hui ces types sont tellement à l’ouest, que dans la réalité ils sont des handicaps au bon fonctionnement.

Et les premiers responsables de cette débâcle son les journalistes, qui n’ont pas été capable d’exercer leur fonction de 4ème pouvoir, trop préoccuper à défendre leurs conforts.
Au fur et à mesure qu’ils le perdent nous les voyons revenir à assumer leur rôle.
La vocation, raison essentiel pour exercer certain métiers réapparaîtra t’elle?

Pourquoi les politiques mettent en péril nos démocratie.

Un décideur est une personne capable de choix au nom d un collectif, même si l objectif est financier, comme pour un chef d entreprise car il n y a pas d entreprise sans cohésion collective.
Mais faire le bon choix est étroitement lié à la responsabilité que l on aura à l assumer personnellement plus tard.
La est la grande différence entre les décideurs public/privé, car les seconds assumeront la totalité des responsabilités des décisions  prisent, alors que les premiers auront tout à loisir de discourir ou d ignorer les conséquences de leurs choix.
Les décideurs public n auront jamais à assumer leurs choix de gestion. Seul leurs choix de stratégie politique pour être ou rester au pouvoir à des conséquence pour eux.
Exemple:
Influencer un petit patron pour qu il prenne une décision contraire aux intérêts de la société qu il dirige est impossible. Sa décision est suffisamment risqué pour prévoir l avenir mais raisonnable pour ne pas le compromettre.
Influencer un politique élu qui sait que son avenir ne dependra en rien de se choix, en est même trop facile.

Ce constat remet en cause le fonctionnement même de nos démocraties et il explique le disfonctionnement actuellement visible de celle si.

100 ans de démocratie à emmener au pouvoir des personnes qui n en ont pas la capacité, car ce sont rarement les premiers de la classe que l on retrouve chez les décideurs compétent.